L’amour autrement 2

Catégories : Pony-play Pets-play Puppy-play
Ce récit est la suite de : L’amour autrement
il y a 10 ans

L’amour autrement 2 Par Ecrivaillon

  • Tu as un beau petit cul, dommage que tu ais un peu de ventre. Enfin, rassure-toi, ce soir, je vais essayer de t’en faire perdre un peu ! Me lance Laura agitant une cravache.

  • Arrêtez tout de suite et libérez-moi !

  • D’abord tu me parles sur un autre ton, ensuite tu arrêtes tout de suite ton cinéma et ton trip de couard. On va s’amuser un peu et c’est tout. Si tu es gentil, toi et moi, ….

  • J’ai horreur d’être piégé. Si vous me l’aviez demandé, j’aurai peut-être accepté par curiosité, mais là c’est hors de question !

Le premier coup s’abat sur ma fesse, je crie et me retourne en l’incendiant, le deuxième claque sur ma cuisse laissant au passage un trait de feu terriblement douloureux.

  • Ca fait mal, arrête ! T’es conne ou quoi ?

  • Ce truc s’appelle une cravache et son objet est de faire mal. Moi, je ne rêve que de te faire du bien, mais si tu me manques de respect une deuxième fois, je te massacre !

  • Mais que voulez-vous à la fin MERDE !

  • Te faire trotter un peu, m’amuser avec toi et peut-être plus si affinité !

  • Vos baisers enflammés de tout à l’heure, n’étaient qu’un piège, c’est ça ?

  • Non ! Contrairement à ce que tu peux penser, ils étaient sincères. Répond Laura avant de me bâillonner de ses lèvres pour un baiser fougueux m’interdisant de réfuter.

Dans ce corps à corps, ses mains se partagent une sauvage croisade de séduction. L’une d’elle prend possession de mes fesses pour me serrer contre elle en les palpant fermement pendant que l’autre tyrannise agréablement ma masculinité. La pony-girl des photos devenue tigresse ondule lascivement au gré de ses caresses. Ses attouchements terriblement sensuels associés aux effleurements de sa poitrine d’une fermeté remarquable contre la mienne enflamment à nouveau mes sens. Les poignets prisonniers, je ne peux que subir alors que je meurs d’envie de l’enlacer à mon tour pour partager l’instant magique.

Rabelais disait : « L’appétit vient en mangeant, la soif s’en va en buvant » je serai bien tenté de rajouter, que l’inconscience vient au fur et à mesure des caresses d’une tigresse gourmande. Irrémédiablement, face à cette fougue câline, je me perds, je fonds, je gémis de plaisir pour lui exprimer ce que mes mains ne peuvent communiquer. Elle m’abandonne aussitôt, me laissant au paroxysme de l’excitation avec le Popaul au garde-à-vous.

  • Je te passe un mors, tu te laisses faire, tu obéis et après on s’amuse un peu en inversant les rôles.

  • Et si je refuse ?

  • Essaye ! Lance Laura d’une voix aguicheuse en guide de réponse tout en se dirigeant vers le mur où sont accrochés leurs équipements.

Mes sentiments sont mitigés et partagés. Certes, je suis d’une curiosité quasi maladive sur les jeux de l’amour et il n’y que peu de choses que je n’ai point faites, mais j’ai aussi une sainte horreur de me faire piéger ! La manipulatrice de charme revient vers moi en me promettant que je ne regretterai pas mon baptême pony puis entreprend de m’enfiler le harnais de tête. Vaincu, je ne résiste plus. Je n’ai pas peur au sens propre du terme mais je ne suis pas rassuré. Elle se colle contre moi, m’embrasse tendrement avant de me placer le mors en caoutchouc noir au goût de poussière qui me donne aussitôt envie de vomir.

  • Je ne voudrais pas dire, mais tu es superbe ainsi. Oh ! Ton bidule est devenu tout mou ! Dit Laura en flattant mon entrejambe d’une main aguicheuse. Sans rire, tu as pris six heures en deux minutes sur l’horloge de l’excitation.

  • Chhhhao !

  • Comment ? Articule ?

  • Rrrrrrrrr !

  • Tape du pied si tu n’es pas content ! Répond Laura en s’amusant à faire rouler mes tétons sous ses doigts.

Mon dieu que je me sens cruche. Cette garce joue au chat et à la souris avec moi. Et dire que je m’étais fait des idées de nuit câline ! Laura se plaque à nouveau contre moi, sa généreuse poitrine s’appuie sur mon torse, ses doigts glissent sur mes hanches, prennent possession de mes fesses qu’elles malaxent d’une poigne plutôt ferme pour une fille. Si le contact de ses mains sur mon anatomie enflamme à nouveau mes sens, je ne sais que penser de son nouveau jeu car elle écarte et referme mes globes fessiers, puis caresse mon petit coin avant de le forcer d’un index inquisiteur qui m’arrache un râle de douleur. Je m’agite de la tête en poussant des « on, on » car j’ai l’impression qu’elle hésite à le combler d’un de ces plugs d’où pend une queue de cheval. Par chance, elle abandonne l’idée puis, telle une chatte en chaleur, continue de frotter contre moi avec ses yeux brillant du feu du désir et un sourire de cannibale affamé qui m’impressionne.

L’ensemble de mon épiderme se transforme en capteur, l’air me semble frais mais je n’ai pas froid, je ne sais plus si je dois me réjouir, si je dois avoir peur.

Son emprise sur moi est gigantesque. Au fur et à mesure de ses caresses, j’ai l’impression qu’elle prend le contrôle de mon subconscient.

Ma respiration s’est accélérée, elle devient sifflante. J’avale régulièrement ma salive, c’est fou, c’est comme si son volume avait triplé à cause du mors, j’ai peur de baver.

Debout, nu, affublé comme un Pony-boy entre les mains de Laura plus en plus vorace, je ne sais plus où j’en suis, ni ce que je veux.

Elle se met à glisser contre mon buste en une lente descente, ses ongles abandonnent mes rondeurs préférant griffer ma poitrine, mon ventre puis ma verge à demi-tendu. Une douce chaleur enveloppe mon gland, sa langue le titille, l’agace jovialement. D’une main chaude, elle malaxe sans violence mes testicules, l’autre s’enroule sur ma verge émue pour la serrer de ses doigts, la masturber lentement. Hum ! ! ! En alliant ainsi douceur et fermeté modérée, Laura en pleine crise de boulimie câline, commence à me faire perdre la raison, à me faire cabrer de volupté. Elle s’interrompt soudain.

  • Je te mangerai bien tout de suite, mais j’ai envie que tu trottes pour moi, tu veux bien ? Me demande la belle de ses yeux aguicheurs auxquels je ne peux résister.

D’un hochement de tête totalement irréfléchi j’acquiesce, avant de me demander si finalement c’était une bonne réponse. Courir ? Là, maintenant, pour elle, ou demain avec les autres ? Elle se lève soudain, me laissant avec mes interrogations pour aller quérir une longe qu’elle accroche à mon harnais de tête en m’adressant un baiser du bout des lèvres, ses yeux sont rieux, son sourire envoûtant. Je prends conscience que cette beauté dispose d’un immense pouvoir sur moi, c’est la première fois que je suis sous une telle emprise. La longe se tend, nous prenons la direction d’un grand espace sablonneux couvert. Tout au long du chemin, mes yeux ne quittent pas l’adorable petit postérieur nu en mouvement. C’est fou, je me sustente à l’idée de pouvoir le caresser, le mordre, le palper, le couvrir de baisers alors qu’elle m’a enfermé dans un piège.

A l’entrée de la carrière, elle échange sa cravache contre un fouet fait d’une longue tige souple et d’une longue lanière de cuir noir qui me glace le sang. Oh là là là là, dans quoi me suis-je embarqué ?

Nous nous arrêtons au milieu, Laura se tourne, prend du recul en tendant la longe et appuie sur mes fesses de la partie rigide du fouet. Mon dieu que je me sens cruche ! Faisant abstraction de la honte qui me submerge, je me mets à marcher, elle garde la longe tendue, mes pieds nus foulent le sable froid au grain fin. Ne parvenant pas à entrer dans son trip, au deuxième cercle je me sens terriblement ridicule, ma libido pourtant de nature exacerbée, se refuse à suivre. Un sifflement précède une pique douloureuse sur ma cuisse gauche, il est temps de courir, ce que je fais furieux et honteux en même temps. Mon sexe en liberté ballotte dans tous les sens, sans aucune élégance.....

Laura prend encore du recul, le rond s’agrandit, la longe s’allonge. Un sifflement précède cette fois un trait de feu sur ma fesse gauche qui me fait bondir. La garce ! Si elle voulait que j’aille plus vite, elle n’avait qu’à le demander. Si plus tard la chance m’est donnée de câliner, je vais aussi lui flanquer une fessée maison, une vraie de vraie, une bien cuisante. Au début je la regardais, maintenant je cours perdu dans mes pensées contraires en regardant devant moi, les yeux dans le vague en méditant sur ma nouvelle condition de mec qui s’est fait avoir en beauté.

  • Oh ! Oh ! Doucement ! Vient ici, vient !

Que veut-elle encore ? Est-ce terminé ? J’en doute, quelques tours seulement ont été effectués.

  • Mon petit poulain, j’ai oublié quelque chose ! Me dit Laura d’un air toujours aussi amusé en flattant mon entrejambe et mes fesses avec un regard amusé.

Chose surprenante, Laura se met soudain à embrasser mon torse nu puis à le lécher, aimerait-elle le goût de la transpiration ?

  • Les hommes courent mal, quand ils ont le sexe à l’air. Je vais chercher le nécessaire, tu ne bouges pas ? Tu restes ici ?

A mon regard mitigé, elle prend alors la décision de me conduire à un mur, attache ma longe à un des anneaux puis s’éclipse sans plus de considération. En la regardant s’éloigner, mille questions me viennent, dont une est récurrente depuis un moment : dans quoi me suis-je embarqué ?

Son retour, quelques minutes après, est aussi inquiétant que son départ car elle tient dans les mains, un objet noir avec des lanières de cuir et une queue de cheval. Je commence à paniquer, à tirer sur la longe, à faire des « non » de la tête, à lever la jambe à son approche pour me protéger.

  • Je te sens anxieux, tu as tord de te faire du souci. Fais-moi confiance, je te jure que tu ne le regretteras pas. Tu rêvais de conduire une pony-girl, je serai celle-là, mais avant je veux te faire découvrir les sensations que l’on éprouve. Tu avais envie de faire l’amour avec moi, cela tombe bien moi aussi, mais se sera à ma façon.

Tout en essayant de me rassurer, Laura me fait voir le « slip pony » sans plug, fixe les sangles sur le devant de ma ceinture, me fait tourner sur moi-même pour insinuer sa main entre mes jambes dont elle force l’ouverture fermement. Ses doigts chauds s’enroulent autour de mon sexe tout rabougrie qu’elle tire vers l’arrière avant de l’emprisonner du carcan froid qui le comprime contre le bas de mes fesses. Lorsque Laura fixe les dernières sangles, les poils de la queue frottent mes jambes, cela fait drôle. En tournant la tête pour regarder à quoi je ressemble avec ce truc, mes yeux effarés découvrent des pinces à seins munie de petits grelots posés à même le sable.

  • Hum, tu es beau comme ça. Tu sais que tu me plais toi ? En plus, tu n’es pas vulgaire comme la plus part des gens qui viennent ici. Murmure Laura comme si l’on pouvait nous entendre avant de se mettre à câliner de ses lèvres mes tétons apeurés.

Sa langue et ses lèvres chaudes me font frissonner, ses dents s’attaquent à mes petits ergots de chair qu’elle mordille tendrement pendant que ses mains entreprennent de malaxer mes fesses maintenant séparées d’une lanière. Invariablement, l'exquise provocation fait son effet mais le déploiement naturel de mon sexe exprimant sa gratitude ne peut se faire. Enfermé dans sa prison de cuir devenue trop réduite pour son développement, il me rapporte son mécontentement par une gêne presque douloureuse qui fait que je me dandine sur mes pieds en essayant de lui trouver une position plus confortable. Le contact soyeux de ses longs cheveux noirs chatouillant mon buste n’arrange en rien les effets négatifs de mon excitation.

Jugeant sûrement que mes seins sont prêts, Laura abandonne ses câlins pour fixer les pinces à grelots sur mes tétons. Si la morsure des pinces n’est pas très douloureuse, le fait qu’elles soient « musicales » me gêne profondément. Je vais avoir l’air idiot en tintant comme le cheval du père Noël. La longe est dénouée, la course en rond redémarre aussitôt car motivée par la pointe du fouet. Je tinte à chaque pas, cela tire sur mes tétons, elle m’encourage de mots doux, alternés de petits coups légèrement piquants sans être vraiment douloureux. Je me sens à la fois ridicule et hors du temps. Un coup de fouet plus appuyé accompagné d’un « allez » me fait comprendre que je dois courir. Courir ainsi donne des sensations très particulières. Les poils de la queue de cheval flattent mes jambes, les pinces à seins s’agitent douloureusement dans tous les sens, mes attributs compressés entre mes jambes me gênent à chaque pas.

N’étant pas sportif, je m’essouffle rapidement, mes respirations deviennent sifflantes, je me sens tout drôle, mon esprit se focalise sur la course comme si dans ce jeu toute mon intelligence devait se concentrer sur deux points : ne pas tomber et respirer !

  • Oh !

Combien de temps ai-je couru je ne saurai le dire, mais je commençais à m’épuiser. Laura tire doucement sur la longe, nous nous rapprochons lentement l’un de l’autre, son sourire est radieux. La plénitude de ses jeunes seins généreux expose la délicate turgescence de ses tétons aux couleurs de fraises des bois. Mon dieu que cette fille est belle. Son visage pointu et son petit nez légèrement écrasé lui donne un air félin, ses yeux brillant du feu du désir m’envoutent.

Laura lâche la longe et m’enlace soudain de ses bras pour une étreinte si affective que j’en suis perturbé.

Lovée contre moi, la tête dans le creux de mon épaule, ses lèvres dispensent une kyrielle de baisers gourmands sur la peau frémissante de mon cou. Glissant légèrement sur mon côté, elle saisit ma main au mouvement limité pour la guider vers son triangle érogène intégralement épilé. Mes doigts découvrent en ses tendres replis doux et chauds une véritable fontaine d’amour exprimant clairement ses appétits.

  • Regarde le désir que j’éprouve pour toi ! Me murmure Laura d’une douce voix suave en se caressant de mes doigts sans aucune gêne.

Avec un regard coquin Laura ondule en mordant sa lèvre inférieure sous mes attouchements hélas limités, nos yeux échangent en silence, nul besoin de mots pour ce dialogue divinement sensuel. Pendant un instant, il me semble même qu’ils parlent d’amour.

  • Accorde-nous encore un peu de temps, accorde-moi encore un peu de plaisir, s’il te plait ?

Finalement, elle ne me force en rien, même si je me suis fait piéger. Cette fille m’a complètement conquis, ma morale et ma pudeur ne semblent plus en état d’exposer la moindre résistance à ses désirs. Je ne sais si c’est pour lui faire plaisir ou pour la séduire, mais cette nuit je me sens capable de tout pour elle.

Mes yeux doivent parler pour moi et dévoiler les sentiments que je ne puis formuler.

Interrompant les caresses, elle passe son bras sous le mien toujours entravé pour me guider vers un sulky. Nous parcourrons les quelques mètres bras dessus bras dessous comme n’importe quel couple d’amoureux, seul le lieu, notre nudité et ma tenue diffèrent. Laura décroche ma longe, me prie d’attendre un instant et s’en va vers la salle où sont stockés les instruments de leurs jeux de pony-play me laissant seul avec mes interrogations. Sûre de son emprise sur moi elle m’a laissé libre.

Sans comprendre la révolution sensorielle qui me submerge, je me sens pris d’une envie de lui faire plaisir et m’agenouille tant bien que mal pour attraper les brancards du sulky pour le relever. A son retour, Laura tient de fines lanières de cuirs qu’elle accroche à mon harnais de tête en me murmurant :

« Je crois que je suis en train de tomber amoureuse » !

Je ne saurai dire si c’est l’instant du jeu, ma libido débridés ou son charme envoutant mais j’avoue être aussi, particulièrement affecté. Avec délicatesse, Laura s’installe sur le sulky, les rênes se tendent un peu puis s’agitent ordonnant le départ et mes timides premiers pas réalisés sans aucune assurance. Comment décrire cet instant ?

Un sulky n’est pas très lourd, le sol de la carrière sablonneuse facilite sa traction, mes mouvements de tête sont un peu anarchiques mais les sensations sont sensuelles et troublantes. Nous décrivons quelques parcours imaginaires par elle dessinés, Laura m’explique que nous allons trotter mais qu’il me faudra ralentir le pas avec précaution pour ne pas chuter lorsqu’elle me demandera de changer de rythme. Les rênes claquent à nouveau, me voilà en train de courir à petits pas, les pinces à grelots m’agacent et commencent à me faire un peu mal.

Après quelques tours, Laura tire doucement sur les rênes et c’est bien volontiers que je ralentis et découvre qu’un sulky lancé ne s’arrête pas immédiatement car il pouce. L’agitation et la variation de poids dans mes mains, me permettent de comprendre qu’elle en descend. Lorsqu’elle se présente devant moi, son regard à changé, ses yeux sont troubles, différents, ils ne sont plus rieurs comme jusqu’à présent. L’inquiétude me submerge aussitôt.

Ses doigts s’agitent sur ma tête, le mord m’est retiré, le harnais aussi, pas un mot n’est échangé. Pendant que je reprends mon souffle, ses yeux se braquent sur les miens, elle le passe autour de sa tête en rangeant ses longs cheveux sur l’arrière puis se le fixe toute seule. Dans la magie du silence, elle se place également le mord, je suis émus car je sais maintenant qu’elle va vraiment s’offrir à moi, mais aussi à mon éventuelle vengeance. Son cadeau frise l’inconscience car je pourrai me venger et être violent ou cruel.

Ecrivaillon

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